El MAS-IPSP denuncia ante la comunidad internacional, especialmente ante las instancias que velan por la democracia y los derechos políticos de los pueblos, que se está gestando un nuevo intento de proscribir nuestra participación en las Elecciones Generales 2020.
LES PUTSCHISTES VEULENT INTERDIRE LE MAS LORS DES ÉLECTIONS EN BOLIVIE
Alors que de nombreux rapports démontrent qu'il n'y a eu aucune fraude lors des élections en 2019, le Tribunal suprême électoral (TSE) a déposé une plainte pénale auprès du ministère public pour fraude présumée lors des élections de 2019.
L'objectif : éliminer le Mouvement pour le socialisme des élections et laisser à la bourgeoisie raciste de Bolivie les mains libres pour privatiser les ressources du pays (Lithium, Gaz...) et détruire les acquis sociaux gagnés sous les mandatures d'Evo Moralès.
Traduction Nico Maury
Le Mouvement pour le socialisme - Instrument politique pour la souveraineté des peuples (MAS-IPSP) a dénoncé ce mardi sur son compte Twitter officiel "une nouvelle tentative pour proscrire notre participation aux élections générales de 2020".
Dans une déclaration, le MAS-IPSP a averti que "le 15 juin 2020, le Tribunal suprême électoral (TSE) a déposé une plainte pénale auprès du ministère public pour fraude présumée lors des élections de 2019".
Le message explique que l'action vise "à proscrire le MAS-IPSP et à invalider tous les candidat.e.s du peuple à ces élections".
Avec cette manœuvre, le TSE met son impartialité en "doute", a indiqué l'organisation politique dirigée par l'ancien président Evo Morales.
À son tour, l'organisation politique a dénoncé "le déploiement d'une intense campagne de haine promue par le gouvernement putschiste" contre ses dirigeant.e.s et militant.e.s.
Le MAS-IPSP a alerté la communauté internationale de la possibilité d'actions violentes contre lui. "Nous demandons que la haine, le racisme, la violence et les percussions cessent", conclut le communiqué.
Pour sa part, Morales a rapporté sur son compte Twitter que "le gouvernement putschiste a fait pression pour que le TSE bolivien dépose une plainte pour une fraude inexistante".
L'ancien président a souligné que ces manœuvres sont effectuées lors de la publication de rapports démontrant la victoire du MAS-IPSP lors des dernières élections de 2019.
Telesur
Dans une déclaration, le MAS-IPSP a averti que "le 15 juin 2020, le Tribunal suprême électoral (TSE) a déposé une plainte pénale auprès du ministère public pour fraude présumée lors des élections de 2019".
Le message explique que l'action vise "à proscrire le MAS-IPSP et à invalider tous les candidat.e.s du peuple à ces élections".
Avec cette manœuvre, le TSE met son impartialité en "doute", a indiqué l'organisation politique dirigée par l'ancien président Evo Morales.
À son tour, l'organisation politique a dénoncé "le déploiement d'une intense campagne de haine promue par le gouvernement putschiste" contre ses dirigeant.e.s et militant.e.s.
Le MAS-IPSP a alerté la communauté internationale de la possibilité d'actions violentes contre lui. "Nous demandons que la haine, le racisme, la violence et les percussions cessent", conclut le communiqué.
Con el objetivo de proscribir al MAS, gobierno de facto ha presionado para que @TSEBolivia presente querella sobre un fraude inexistente. Además, lo hace mientras el mundo entero tiene informes independientes e irrefutables que concluyen que ganamos limpiamente elecciones de 2019
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Pour sa part, Morales a rapporté sur son compte Twitter que "le gouvernement putschiste a fait pression pour que le TSE bolivien dépose une plainte pour une fraude inexistante".
L'ancien président a souligné que ces manœuvres sont effectuées lors de la publication de rapports démontrant la victoire du MAS-IPSP lors des dernières élections de 2019.
Telesur
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