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Défilé du 26 mai : une cinquantaine d’organisations participeront

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Partis de gauche, syndicats et associations citoyennes lancent un appel commun à «marée populaire festive» contre la politique d’Emmanuel Macron.

Une cinquantaine d’organisations nationales politiques, syndicales et associatives vont participer à la mobilisation du 26 mai un peu partout en France, pour « faire reculer » Emmanuel Macron, ont annoncé jeudi les porte-parole de ce mouvement.

 

« On est 50 à peu près et les signatures continuent d’arriver d’organisations petites ou grandes, syndicales, politiques, associatives », a expliqué Annick Coupé, l’une des organisatrices du « Collectif » et ancienne porte-parole de Solidaires, lors d’une conférence de presse au siège de la CGT, à Montreuil.

« C’est un ovni, ça n’a jamais été mis en place », a de son côté souligné Willy Pelletier, de la fondation Copernic, promettant une « marée populaire festive », avec fanfares et chars.

 

Des initiatives sont d’ores et déjà prévues à Paris, Marseille, Toulouse, Lille, Poitiers, Rouen ou Nantes. A Paris, la manifestation partira à 14h30 de la gare de l’Est vers la place de la Bastille. Il n’y aura pas de carré de tête, mais un char. Les organisations syndicale et politiques seront placées derrière le cortège « citoyen ».

 

« Amplifier le rapport de force » avec le gouvernement

Parmi les organisations figurent des associations comme Les Effronté.es, Droit au logement ; des partis (La France insoumise, PCF, Europe écologie les verts, NPA…) ou des syndicats (CGT, FSU, Solidaires, Unef).

 

Les objectifs ? D’une part « réaffirmer le soutien aux luttes » actuelles, dont celle à la SNCF ou dans la fonction publique. D’autre part « faire reculer Macron et son gouvernement » en « amplifiant le rapport de force ».

 

Etaient présents à la conférence de presse, entre autres, Jean-Luc Mélenchon et Clémentine Autain pour les Insoumis, Pierre Laurent (PCF), Benoît Hamon (Générations), Olivier Besancenot (NPA) ou Eric Beynel (Solidaires).

 

Philippe Martinez, numéro un de la CGT, était absent, car « il avait un engagement » CGT, a déclaré Catherine Perret, qui représentait le syndicat. La dirigeante a insisté sur l' « indépendance » du syndicat, refusant de voir un changement de pied dans la décision de la CGT de participer à cette mobilisation aux côtés de partis politiques.



20/05/2018
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