http://img11.hostingpics.net/pics/990332blog_2.jpg

http://img11.hostingpics.net/pics/990332blog_2.jpg

Fabien ROUSSEL TRANSPARENCE: Transparence sur mon travail auprès du député Jean-Jacques Candelier

 

Fabien Roussel aux côtés de Jean-Jacques Candelier avec plusieurs personnes en arrière plan, ils tiennent des parapluies

Le 20 février dernier, Mediapart publiait un article remettant en cause mon travail d’attaché parlementaire de 2009 à 2014 auprès du député communiste du Nord Jean-Jacques Candelier.

D’emblée, je tiens à préciser - et c’est ma position depuis la publication de cet article - que je respecte profondément le travail des journalistes : c’est une nécessité, un travail essentiel dans une démocratie comme la nôtre. J’ai donc répondu en toute transparence aux questions qui m’étaient posées. Néanmoins chacune et chacun mesure que la publication d'un tel article à quelques semaines du premier tour de scrutin constitue une charge contre ma candidature surtout concernant une période vieille de 10 ans.

J’ai toujours mis beaucoup d’énergie et de coeur dans mes fonctions d’attaché parlementaire, sur le terrain, au plus près des populations et des luttes dans ce territoire qui m’est cher. Être sur le terrain, proche des gens. Quand on est député communiste, assistant parlementaire communiste, d’un territoire populaire, industriel, mais aussi touché par le chômage, notre engagement sur le terrain est total, déterminant.

Depuis la publication de l’article de Mediapart, je reçois des dizaines de témoignages de gens qui m’ont connu dans mes fonctions de collaborateur, qui ont vu l’action du député Candelier et qui se sentent eux-mêmes blessés par les accusations erronées de Mediapart.

Si je n’ai absolument pas à fournir de quelconques preuves aux journalistes, je veux être transparent car je suis profondément indigné, touché et affecté par ces accusations qui mettent en cause mon travail, toutes mes années de combats et mon intégrité, et je souhaite aussi être transparent avec les Français et surtout leur en dire un peu plus sur mon travail d’attaché auprès de mon député, « Le Grand » comme on l’appelle dans le Nord.

D’abord ce travail figure dans mon CV, sur mon site de campagne. Je n’ai rien caché. Il n’y a rien de « fantôme » dans cette période de ma vie.

J’ai été embauché en mai 2009. Et à cette époque, je ne suis pas secrétaire départemental de la fédération du Nord, comme c’est écrit. Je suis élu en juin 2010 et j’exerce alors cette responsabilité bénévolement, avec d’autres. Heureusement que l’on ne cumule pas les salaires ! Certains le font. Pas nous. Qu’aurait on dit, sinon. Chez nous, il n’y a pas d’enrichissement personnel. D’ailleurs, aujourd’hui, en tant que député, je reverse 2000 euros de mon indemnité tous les mois au PCF, car il n’est pas pour nous imaginable de gagner plus en étant élu que dans nos professions d'origine. C’est la règle pratiquée chez nous.

Enfin, quand Jean-Jacques Candelier fait le choix de m’embaucher, il choisi de recruter un homme de terrain, connu pour cela. Tout le monde sait, sauf à vouloir déformer la réalité du travail d’un parlementaire, que dans une équipe de collaborateurs, il y a toutes les compétences : des juristes, des plumes, des administratifs, des assistants chargés des permanences, des assistants présents sur le terrain. Certains ne vont jamais à l’assemblée nationale de tout le mandat ! Tous les députés vous le diront.

C’est dans ce cadre que j’ai été embauché auprès de Jean-Jacques Candelier. Car nous nous connaissions. Car il savait que j’avais énormément de contact sur l’ensemble du bassin minier et que je ne comptais pas les heures, comme tous ses collaborateurs.

Quand on est à disposition d’un député, c’est tous les jours, 7 jours sur 7, tôt le matin et jusqu’à tard le soir.

Photo d'une réunion de travail avec une vingtaine de personnes autour de la table et Fabien Roussel

Ce travail, c’était d’abord un engagement avec lui auprès des habitants et habitantes de la circonscription et du département, être à l’écoute de leurs colères et de leurs espoirs. Notre travail s’évalue à la capacité à porter la voix d’une population qui veut être écoutée, de travailleurs qui veulent être respectés, à porter et relier cette voix dans des interventions politiques, des propositions qui permettent de changer la loi pour que la République serve toujours plus le plus grand nombre.

Pourquoi certains ne veulent ils pas reconnaître ce travail ?

En sachant pouvoir compter sur votre discernement, et sans garder de grief vis-à-vis des journalistes de Médiapart qui, je le rappelle, font un travail plus que nécessaire, je vous livre ici des témoignages de mes collègues de l’époque ainsi que des personnalités avec qui j’ai eu l’occasion de travailler dans le cadre de mes missions auprès de Jean-Jacques. Je publie aussi quelques exemples de ce travail issus de quelques archives personnelles du député Candelier qu’il a pu retrouver suite à ces accusations.

Je vous montre aussi deux de mes fiches de paye. Et d’ici quelques jours, vous pourrez aussi connaître tout de mon patrimoine car chaque candidat à la présidentielle doit le renvoyer au conseil constitutionnel. Je vous fais juge, totalement confiant dans votre volonté de ne pas vous laisser détourner du grand débat citoyen dont notre pays a besoin pour sortir de l’état catastrophique où l’ont laissé les politiques conduites au fil des derniers quinquennats.

Pour ma part, je retourne me consacrer à ma belle campagne pour bâtir avec vous, la France des Jours heureux.

Fabien Roussel

 


Les témoignages vidéo



24/02/2022
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Actualités locales pourraient vous intéresser